Dans une salle type MJC à Ouarzazate, il faut préparer la scène pour le spectacle ; puis dans une grande salle de réfectoire de lycée à Agdz et enfin dans les dunes du désert.
Rencontre de 2 cultures, 2 façons de travailler.
Arrivés à Ouarzazate le 31 mars au soir, la journée du 1er et la matinée du 2 sont consacrées à l’installation de la salle, la fabrication du «cyclo» (drap de scène) ; aux
répétitions et réglages divers : trouver le tissu qui convient, faire les esais lumière
avec un échantillon, l'acheter, faire assembler les 2 léspour avoir la largeur, etc...
Pour chaque lieu, il faut monter les installations qui permettront d'éclairer la scène et le spectacle.
Dans le désert, il faudra minuter le temps du coucher de soleil pour calculer le début du spectacle en fonction de l'heure de la nuit.
Tout le monde met la main à la pâte : les artistes marocains et français, les organisateurs/trices, les techniciens, etc.
Cette préparation se renouvelle à chaque spectacle avec des conditions toujours différentes.
Comme par exemple dans le désert où la sono n’est pas possible : la musique se fera en direct. Les échanges interculturels ont décidé René-marie à accepter d’utiliser un Dindum, la grosse percussion des Awash.
Ca y est, tout le monde est prêt pour le spectacle...
A bientôt pour la suite.
La Nomadine
Photos : Idriss Aslafou, Ishka Michoka, Denise Sauzon. Avril 2013